Le Big Bang

INTRODUCTION

Le Big Bang est une explosion primordiale. C'est accessible aux mathématiques mais pas à la physique. L'univers a environ 16 à 17 milliards d'années.

I.La constitution de l'univers

Avant que la matière (la Terre) ne se crée il n'y avait que le vide qui régnait dans l'atmosphère. Le vide était constitué de particules virtuelles de matière et d'antimatière qui apparaissaient et disparaissaient comme des bulles de savon. L'univers est sous l'influence de la super gravité. L'univers est constitué de particules légères (comme des électrons) et l'énergie de rayonnement. La température baisse alors que les électrons et les particules du même genre s'augmente.

II.Le Big Bang

 

 

Qu'y avait-il avant l'apparission de l'espace-temps ?

Il y a environ 12 à 15 milliards d'années, un point virtuel, plus petit que l'un des atomes de notre corps. Ce petit point a gonflé pour devenir le monde où nous vivons actuellement: on l'appelle le BIG BANG. Un de nos radio-télescopes ont réussi à capter l'onde résiduelle de cette explosion initiale. L'existence de cette matière est certainement la plus incroyable de tous les mystères. C'est même magique. Des milliards et des milliards d'étoiles se sont formées pour s'assembler en galaxies primitives. Celles ci ont exploser à leur tour pour libérer des éléments chimiques que nous utilisons aujourd'hui. De nouvelles étoiles sont nées avec leurs cortèges de planètes. Dans un mélange d'énergie, de rayonnements et de particules, l'univers se poursuit de manière régulière tandis que sa température diminue peu à peu.

III.Les minéraux entre l'univers et l'espace

 

 

 

 

 

Il y a 14553 minéraux entre l'univers et les étoilesIII.Les minéraux entre le Big Bang et les étoiles -Arséniates -Carbonates -CycloSilicates -Hydroxydes -Molybdates -NésoSilicates -Oxydes -PhylloSilicates -Sulfates -TectoSilicates -Wolframates -Chromates -Borates -InoSilicates -Haloïdes -Organiques -Natifs -SoroSilicates -Phosphates -Vanadates -Sulfures

IV.L'observation conterdit la loi de gravité

a) Depuis Newton, une réalité semble incontournable : toute matière provoque une attraction vers elle. Pour Newton, la cause de cette attraction est une force d'accélération constante. Pour Einstein, sa cause est une déformation de l'espace-temps qui courbe vers une matière le trajet des autres matières et le trajet de la lumière. Effet d'accélération ou courbure géométrique, dans les deux cas la présence d'une matière agit inévitablement sur toutes les autres matières et sur tous les rayonnements de l'univers.

Plus une matière est éloignée plus son effet est minime, car il diminue comme l'inverse du carré de la distance, mais même s'il est très faible et négligeable dans les calculs, la conception de Newton ou d'Einstein rend impensable que cet effet d'attraction soit complètement nul, d'autant plus si les deux matières ne sont pas très éloignées et sont constituées par exemples de deux étoiles d'une même galaxie.

Cette explication a merveilleusement marché pour les pommes qui tombent à terre. Elle a aussi merveilleusement marché pour les planètes qui tournent autour du soleil. Mais il fallut se rendre à l'évidence : elle ne marche pas, et même pas du tout, pour les étoiles qui tournent autour du centre des galaxies. En effet, la loi de la gravité dit que plus on est près du centre de giration plus la vitesse doit être grande, cela afin de résister efficacement à l'attraction qui augmente lorsqu'on s'en rapproche. Ainsi, Mercure qui est la planète la plus proche du soleil, tourne environ 10 fois plus vite que Pluton qui en est la plus éloignée. Ces différences importantes de vitesse que l'on trouve dans le système solaire qui fonctionne selon les principes de la gravité, on ne les observe pas dans le mouvement des galaxies : dans une galaxie, ce que l'on observe, c'est que toutes les étoiles tournent à peu près à la même vitesse, quelle que soit leur distance au centre de cette galaxie.    

V.Et si l'univers ne fonctionnait pas logiquement ?

Il est logique que la gravité ne s'arrête pas soudainement au-delà de Pluton, et qu'elle régisse aussi par conséquent le mouvement du soleil dans la galaxie. Si la réalité que l'on observe est différente, c'est que l'univers ne fonctionne pas selon ce que nous appelons "la logique". Il existe d'autres types de fonctionnements cohérents que le fonctionnement de type logique.

C'est le cas par exemple de ce que l'on peut appeler un fonctionnement paradoxal. Un paradoxe agit de telle sorte que deux choses contradictoires entre elles se réalisent simultanément. Si l'effet produit par ce paradoxe est systématique, on peut admettre qu'il soit cohérent, mais il n'est pas pour autant logique qu'un fonctionnement ait pour effet de produire une chose et son inverse, c'est même le comble de l'illogisme. C'est cette hypothèse d'un illogique fonctionnement paradoxal de l'univers que nous allons maintenant explorer. Habituellement, un paradoxe est un endroit où la physique ne fonctionne plus : telle théorie prédit tel comportement, telle autre théorie prédit le comportement inverse, et comme les deux ne peuvent être valides en même temps, il y a une anomalie que l'on appelle paradoxe.

Jusqu'ici, tout le progrès scientifique s'est fait en "levant" progressivement les paradoxes apparents du fonctionnement de l'univers, c'est-à-dire en trouvant chaque fois une théorie plus générale expliquant davantage de phénomènes sans engendrer de contradictions inconciliables. Dans cet esprit, la recherche actuelle en physique consiste à trouver l'équation "unifiée" qui saura décrire de la même façon et sans contradictions toutes les forces physiques que l'on connaît : la force électromagnétique, la force nucléaire forte, la force nucléaire faible et la gravité. Pour la force de gravité, on n'a pas trouvé le moindre petit bout de commencement de la façon dont on pourrait l'unifier avec les autres forces.